
Hôtel de Ville
En 1864, l'édifice fut complété d'un dôme de 51 mètres de haut réalisé par l'architecte Boisson. Le dôme abritait une horloge et un carillon. Mais il est endommagé en 1952 par un incendie. Il sera ensuite démoli
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Ancien puits Couriot
Saint-Étienne a été le fleuron français dans bien des domaines : la métallurgie, l'exploitation du charbon, les armes, la rubanerie, le cycle... Toutes ces activités ont laissé dans Saint-Étienne un patrimoine architectural remarquable, témoin de l'époque flamboyante de la ville.
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En 1864, l'édifice fut complété d'un dôme de 51 mètres de haut réalisé par l'architecte Boisson. Le dôme abritait une horloge et un carillon. Mais il est endommagé en 1952 par un incendie. Il sera ensuite démoli
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Cet immeuble est réalisé pour le compte de M. Preynat, juge au Tribunal de Commerce et propriétaire du commerce florissant "Au Bon Sapeur". Il est un des premiers à être construit le long de cette nouvelle avenue
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Construit en 1931 avec 1 800 places, ce stade mythique eu jusqu'à 59 900 places en 1984. Aujourd'hui, il dispose de 42 000 places. Dans ce lieu, l'ASSE a remporté 10 titres de champion, record français dans le football
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Datant de 1909, le bâtiment témoigne de la réussite des activités textiles à Saint-Étienne. Il accueille des salles de dépôt, pesage, dévidage des balles de soie, bureaux et appartement du directeur jusqu'en 1962
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Le site rassemble dès 1866 la production, l'administration et les logements. La manufacture est une représentation prestigieuse de la puissance du second Empire. Toute activité cesse en 2000
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La célèbre et emblématique Manufrance fait construire les bâtiments en 1893 et s'y installe l'année suivante. Le site accueille l'administration et la production dans un véritable palais industriel moderne jusqu'en 1985
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La tour est construite au XVIe siècle sur l'ancienne porte du Furan qui était l'entrée est de la cité médiévale. À droite, se trouve la rue des Fossés qui se situe le long des anciens remparts et de ses fossés
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Saint-Étienne est le chef-lieu du département depuis 1856. Le siège de la préfecture s'installe d'abord au second étage de l'Hôtel de Ville mais la cohabitation est difficile jusqu'à la construction de ce bâtiment en 1902
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La gare est caractéristique de l'architecture industrielle de la fin du XIXe siècle. Elle est construite sur un système de vérins hydrauliques pour relever la construction à cause de l'instabilité du terrain
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Unique puits stéphanois encore existant, il a été le dernier à fermer à Saint-Étienne, en 1973, sur les 192 puits qu'a compté la ville. Il fut un des plus modernes d'Europe, assurant le quart de la production du bassin
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Alexandre Colcombet, rubanier et président du Tribunal de Commerce, fait bâtir cet immeuble pour assoir sa position et la puissance des rubaniers. Pour rivaliser en hauteur, l'Hôtel de Ville se dote d'un dôme
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Le bâtiment est construit en 1907 par la Société amicale des anciens élèves de l'École des Mines. La façade imposante et luxueuse témoigne du rayonnement du corps de métier des ingénieurs des Mines
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Ces usines de fabrication de velours et de rubans représentent un témoin important de l'industrie textile à Saint-Étienne. La Société Giron Frères est liquidée en 1980, après 160 ans de règne sur le velours
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Deux immeubles sont construits sans ascenseur ni escalier. Le premier date de 1933 et le second de 1939. Les appartements sont desservis par une rampe douce en forme hélicoïdale. Les immeubles ne se visitent pas
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Après avoir fait bâtir Le Grand Cercle, Alexandre Colcombet commande cette recette pour affirmer la puissance de sa maison de rubans. C'est le dernier établissement rubanier à avoir sa cheminée au cœur de la ville
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Ces anciennes recettes du XIXe siècle sont construites en forme de U avec plusieurs niveaux pour accueillir des magasins, des écuries, des ateliers techniques et commerciaux pour préparer les rubans
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Léon Lamaizière réalise l'immeuble en 1894 et le décore d'une rotonde d'angle surmontée d'une coupole en ardoise. La famille Lamaizière a bâti à Saint-Étienne un nombre important de bâtiments de toutes sortes
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Construit en 1962, l'immeuble est le premier de Saint-Étienne en béton précontraint. Son standing est inégalé pour l'époque avec ses ouvertures de balcons, ses céramiques colorées et sa fresque sur la façade
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Livrée en 2010, la cité administrative mesure 108 m de long par 44 m de large. Elle est recouverte de verres, comporte un important porte-à-faux et un aplat de jaune très lumineux lui donnant le nom de "Luminis"
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La première phase est livrée en 2018-2019 et la seconde en 2021. Il s'étend sur près de 10 000 m² face à la gare de Châteaucreux. L'îlot est déjà emblématique du quartier avec ses formes et ses couleurs atypiques
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Livré en 2007, le bâtiment regroupe treize sites du groupe jusqu'alors disséminés dans Saint-Étienne. Son architecture s'apparente à un paquebot. Il est un emblème du quartier d'affaires de Châteaucreux
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Le centre commercial est inauguré en 2020 et s'étend sur 70 000 m². Son architecture est unique et contemporaine, s'inspirant du paysage stéphanois et de l'histoire de Saint-Étienne
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En 1846 commence le chantier de ce qui sera la sous-préfecture de la Loire. Mais en 1855, Saint-Étienne devient une préfecture. Les travaux s'arrêtent un temps avant de reprendre pour accueillir un musée
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Située devant l'ancienne Manufacture Nationale d'Armes, la Platine est un des bâtiments de la Cité du design. L'architecture est contemporaine, composée de fonte, d'acier et de verre aux ouvertures triangulaires
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Il dispose de 7 200 places et peut être configuré de 30 façons différentes. Inauguré en 2008 par un concert de Johnny Hallyday, il s'agit du premier Zénith construit en Rhône-Alpes. Il présente un important porte-à-faux
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La Comédie emménage fin 2017 dans les locaux rénovés de l'ancienne Société Stéphanoise de Constructions Mécaniques. Elle dispose de 8 000 m² et présente des ponts roulants et des charpentes métalliques
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En 1858, le Préfet fait fermer le Casino Lyrique (un cabaret) pour cause de mœurs légères. Deux ans plus tard, M. Bréchaud ouvre une épicerie de détail nommée "Casino" faisant référence à l'ancienne activité des lieux
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L'architecte Rudy Ricciotti conçoit le bâtiment en reprenant le motif de l'artiste contemporain Claude Viallat pour les fenêtres. Le bâtiment est inauguré en 2010. À la tombée de la nuit, il s'anime de couleurs
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L'immeuble est inauguré en 1960. Sa particularité est qu'il dispose d'un abri antiatomique qui s'étend sur une grande partie du sous-sol. Il s'agissait d'une demande de l'État
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L'immeuble est construit entre 1936 et 1938 par l'architecte Armand Subit, qui réalise son premier immeuble en copropriété. La particularité du bâtiment est sa façade à redans et ses fenêtres aux angles
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Léon et Marcel Lamaizière construisent quatre immeubles de 1907 à 1912. La pierre calcaire est utilisée, les balcons sont en fer forgé ou en pierre et les façades sont animées par des courbes et des bow-windows
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L'usine est construite en 1916 pour la fabrication de locomotives, d'aciers spéciaux, de chaudronnerie et de matériels de travaux publics. La hauteur maximale du bâtiment atteint 29 m
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L'imposante façade de l'usine, avec ses pilastres ioniques, rappelle le glorieux passé de la manufacture mondialement réputée pour ses fusils de chasse. La manufacture existe toujours, installée rue de la Convention
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Fondée en 1820, Verney-Carron est la plus ancienne maison française dans l'univers de la chasse. L'atelier a fonctionné de 1926 jusqu'aux années 1970 pour la fabrication de fusils. Il dispose d'une verrière de toit
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Le style architectural de l'ancien siège social de la fabrique d'armes mélange la brique et la pierre. Des motifs décoratifs figurent au-dessus du premier étage. Humbert est aujourd’hui à Veauche
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Le bâtiment date de 1880, est de style austro-hongrois et accueille une brasserie austro-française. Il devient ensuite un restaurant prisé, puis une clinique d'accouchement et enfin une boulangerie
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Datant de 1927, le bâtiment est en forme de U et de style néo-classique. La façade comporte un fronton, des colonnes doriques, des statues et des noms gravés d'anciens élèves, professeurs et directeurs de renom
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Léon Lamaizière réalise l'immeuble en 1898 à la demande des fabricants de rubans David. Le bâtiment, fait en pierre blanche et en brique, alterne les fenêtres et les balcons avec des balustres en fer forgé ou en pierre
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Le bâtiment est réalisé par Léon et Marcel Lamaizière. Les sculptures sont réalisées par les frères Induni. La façade principale porte plusieurs références à l'ancien journal La Loire Républicaine
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Construit en 1821 par l'architecte-voyer Jean-Michel Dalgabio, le bâtiment accueille au départ la Bourse et la Chambre de Commerce. En 1892, il est réhaussé d'un étage par Léon Lamaizière
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Réalisé par Léon Lamaizière, le bâtiment présente un corps central et deux ailes terminées par des pavillons. Sur le fronton est inscrite la devise de la première chambre syndicale des mineurs
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Le bâtiment administratif est édifié en 1929, sur le site de la Charité qui existe depuis 1695. La corniche porte l'inscription "Hospices Civils" encadrée de femmes allégories de la Charité
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La copropriété fait son apparition à Saint-Étienne. Elle est bâtie entre 1930 et 1932 par l'architecte-promoteur stéphanois Auguste Bossu. L'immeuble est novateur et propose tout le confort moderne
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Léon Lamaizière conçoit le bâtiment en 1894 puis l'agrandit en 1898. Il s'étend sur 3 000 m² et 3 niveaux. Différentes pierres est utilisées et des motifs sont sculptés. À l'angle, la tourelle est coiffée d'un dôme
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Construit en 1911, l'immeuble est destiné à la location. La façade se compose de baies dont la décoration change au fil des étages. La travée gauche porte un bow-window sur les trois premiers étages
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La construction démarre en 1914 avant de s'interrompre dû à la guerre et au manque de financement. Il reprend en 1923 pour s'achever en 1928. Le bâtiment est réalisé en béton armé et en pierre calcaire
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L'architecte stéphanois Joanny Morin érige l'immeuble en 1902. La travée d'angle est décorée de briques vernissées et de décors floraux. La polychromie figure aussi sur les arcs des baies et varie selon les étages
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Joanny Morin, architecte stéphanois, construit l'immeuble en 1904 dans le style Art nouveau avec des lignes courbes, des motifs floraux, animaliers et anthropomorphes, l'utilisation du fer forgé, de vitrail...
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Le bâtiment est édifié en 1859 en briques, en pierres et en ardoises dans le style néo-Louis XIII. L'aile sud date de 1959. L'école est rénovée et une nouvelle fois agrandie de 1986 à 1989
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L'immeuble est reconstruit en 1912 après un incendie. Il se compose de quatre corps de bâtiments disposés autour d'une cour intérieure. L'angle compte un niveau supplémentaire couronné d'une toiture en pavillon
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